A l’annonce de la démission de Tsipras, mon premier commentaire sur la toile grecque fut : dorénavant, j’appellerai Tsipras Lucky Luke. Il est venu, a coulé l’économie, amené le troisième mémorandum, vendu le pays, l’a rempli d’immigrés clandestins et il est parti !
Pour comprendre le côté satyrique, il faut se référer au slogan de sa campagne électorale de janvier : « L’espoir vient… ». En effet, il est venu, pour sept mois et il est parti comme il était venu ! Il est très fort ce Tsipras. J’en plaisante comme les Grecs en plaisantent car ils préfèrent prendre les choses avec humour et n’hésitent jamais à se tourner en dérision, ce qui se dit en grec « autosarcasmos » c’est-à-dire qu’ils sont sarcastiques envers eux-mêmes. Rions pour ne pas pleurer, pourrait-on dire.
Pas besoin d’humoristes professionnels, ici on se fabrique soi-même ses dessins humoristiques qu’on se passe sur la toile. Ci-dessous : « arni » signifie « agneau ».
Pas besoin d’humoristes professionnels, ici on se fabrique soi-même ses dessins humoristiques qu’on se passe sur la toile. Ci-dessous : « arni » signifie « agneau ».
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